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No Mercy for the Rude

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les avis de Cinemasie

2 critiques: 2.62/5

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12 critiques: 3.31/5

visiteurnote
jeremiebarilone 4.25
Dooliblog 4
Hidelirium 3.75
Pikul 3.5
geez 3.25
Scalp 3
antigone 3
Bastian Meiresonne 3
Sauzer 2.75
Black_pantha 2.75
tu0r 2.75


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No mercy for the dude

(Prix du Public au Festival Asiatique d'Udine 2007). Cinq longues années avant que le réalisateur Park Cheoil-hee n'ait finalement su investir les fonds nécessaires à la réalisation de son premier long-métrage "No mercy for the rude" (avant d'avoir été longuement pressenti pour adapter son propre scénario, "Face"). Cinq années, qui auront au moins eu le tort de démoder précocement un genre, qui aurait fait mouche en 2003. Force est de constater, que "No mercy…" s'aligne un peu tard sur une trop longue file de films de même genre: celui du tueur à gages, maladroit avec les armes à feu, repenti pour adhérer aux yeux du public et filant tout droit vers la tragédie. Démarrant comme une comédie (très réussie), le film amorce un soudain changement de ton vers le polar noir pour se terminer dans la pure tragédie – rien de bien neuf au pays du matin calme. Très maîtrisé du point de vue d'une première réalisation, il manque pourtant ce petit quelque chose pour transcender le genre, emballer son audience et le distinguer des autres produits (de masse). En même temps, le film est loin d'être le pire avatar de sa série et reste – malgré ses airs de déjà-vu et quelques faiblesses – un beau divertissement. Yun Ji Hye est remarquable dans le rôle d'une femme coréenne étonnamment libérée…

15 juin 2007
par Bastian Meiresonne


El matador peut se rhabiller.

Au départ, cela semble une bonne idée, un groupe d'amis, tous tueurs à gage, dont l'un est muet, un autre un ancien danseur de ballets...et qui travaillent pour le même ordonnateur. Reste que ça ne va pas plus loin, on suit le héros, on délaisse les autres, et ses problemes sont beaucoup trop limités pour interesser tout le film, bien que sa liaison avec l'escort girl est assez reussie. Tout le reste est creu et dérisoire.

02 février 2007
par Sauzer


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